Une photo, un poto : Sabina Magallanes
Le maté, Amer ou doux, il est partout Contre lui sur ce banc qui m’attend depuis si longtemps
Place à la poésie insurrectionnelle et joyeuse
Le maté, Amer ou doux, il est partout Contre lui sur ce banc qui m’attend depuis si longtemps
Une salle d’examen aux murs jaunes. L’interne demande pour la troisième fois à GUS de sortir pendant qu’elle suture la tempe d’ELEA.
Deux directeurs de casting attendent. Une femme entre. Elle porte une moustache d’Hitler sur le visage.
Mardi 21 avril, 7h. GUS n’y tient plus. L’infirmière répète qu’il faut attendre le médecin. Il s’est agité toute la nuit, a bousculé tout le service.
Un Pas, c’est une avancée vers un futur plus ou moins sûr. Mais un futur qui nous offrira toujours des opportunités.
Au PMU les Favorites, au milieu des bruits de couverts et des conversations de déjeuner, une omelette est demandée en cuisine.
Un écran. Pas de fumée. Une simple trace d’un passé perdu.
Lundi 20 avril, 9h30, conférence de presse au Courrier Républicain. Une femme sur l’estrade parle. C’est sans intérêt et dit sans conviction.
Assit dans un bureau mal éclairé, mais au chaud et au sec. Un flic lui amène un café.
Samedi 18 avril, 20h, deuxième étage de l’Hôtel de ville. Michel de Tudèle mâchonne un cigare éteint.
Et si on prenait le temps de s’intéresser aux sons, aux bruits, aux voix ?
Samedi 18 avril. ELEA boit un café dans un fauteuil de son salon.